Il est reproché aux deux femmes d’avoir soutenu Priscilla Majani dans l’exécution de son projet de vivre dans la clandestinité afin de priver l’enfant de son père Alain Chauvet. Celui-ci a été accusé à tort par la maman de Camille d’agression sexuelle, en janvier 2011 (une allégation catégoriquement exclue par les expertises gynécologiques et psychologiques). (…) « A l’adolescence, Camille va chercher qui est son père, veut croire le magistrat, nul doute qu’elle se posera les bonnes questions », a-t-il lancé à Alain Chauvet pour lui rendre espoir.
La décision du tribunal sera rendue le 3 novembre.
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Source : Eric MARMOTTANS pour Var-Matin.fr du 13/10/2016.