Ils vont chercher des cigarettes, promener le chien, faire un tour. Et ne reviennent jamais.
Ils sont entre 2 000 et 5 000 par an, indénombrables, insaisissables. Et comme ils sont majeurs, les « disparus volontaires » sont libres de s’évaporer dans la nature et de changer de vie, rarement pour le meilleur, parfois pour le pire. Restent derrière eux l’impuissance de la Police, l’angoisse des familles et les questions sans réponse.
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