A la suite de son accouchement, qu’elle avait programmé en France en raison d’une liaison illégitime, Karen Taher a du signer, comme le prévoit la procédure, un formulaire d’abandon d’enfant. Mais selon l’un de ses avocats Me Marc Bellanger, « en l’absence de traducteur et d’explications sur ses droits et ne parlant elle-même pas français, elle ne l’a pas compris ».
De retour à Dublin où elle vit et en accord avec son mari, elle a souhaité reprendre sa fille, déjà placée dans une famille en vue de son adoption. Décision que la Ddass et le Préfet ont refusé de lui accorder, le délai légal des deux mois pour revenir sur son abandon étant dépassé. (…)
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Sources : Nice Matin du 30/11/2003 et La Dépêche.fr du 15/04/2004.
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En 2004, la mère a été déboutée de sa demande. Elle avait dépassé le délai pour revenir sur son choix.