Ce rebondissement fait suite à un courrier reçu par l’administration pénitentiaire un ancien codétenu de Sébastien Ribière. Celui-ci relate que début 2015, il aurait reçu de prétendues confidences de ce dernier sur la disparition du garçonnet, alors qu’ils étaient tous les deux incarcérés au centre pénitentiaire d’Avignon-Le Pontet (Vaucluse). Selon lui, Antoine aurait ingurgité, par accident, de l’héroïne qui traînait sur une table basse et serait mort d’une overdose. Son corps aurait ensuite été dissimulé dans les collines environnantes.
Dans cette affaire, la mère a toujours affirmé que son fils avait disparu de l’appartement familial alors qu’elle et son compagnon étaient sortis dîner au restaurant, le 11 septembre 2008. « Je continue à penser que quelqu’un est entré chez moi en mon absence et est parti avec mon fils. Je me dis qu’on est venu le prendre et qu’il a eu un moment de peur absolue, ce qui explique le pipi dans son lit », déclarait-elle encore au quotidien La Montagne en octobre 2013.
A l’époque, une autre disparition d’enfant dans le Puy-de-Dôme faisait grand bruit : celle de la petite Fiona, dont la mère et son ex-compagnon, tous deux toxicomanes, venaient d’avouer la mort, après avoir initialement parlé de disparition.
(…) Lire la suite de l’article sur France 3 Auvergne avec AFP du 13/04/2017.