L’histoire remonte à l’année 1982 lorsqu’Alain coupe les ponts avec son frère aîné. Ce dernier dépose une déclaration de disparition auprès des autorités, qui aboutit en 1992. Officiellement disparu depuis cette date, Alain Franc continuait tout de même de voter, payer ses impôts, et de travailler dans le quartier de la Défense (à Paris), en jardinage et en entretien.
Au décès de son frère, il y a quelques années, sa belle-soeur poursuit la procédure. Jusqu’à ce qu’il soit déclaré mort, fin octobre 2016. « Je suppose que c’est dû aux droits de succession de ma mère décédée, avance le retraité, qui y voit là la seule explication. Mais s’ils avaient voulu vraiment me trouver, ils auraient mis cinq minutes ! Je ne me suis jamais caché. » (…)
(…) Lire l’article de Félix BARANGER sur Ouest-France.fr du 08/07/2017.