Dans une conférence de presse le mardi 3 décembre, la procureure de Besançon, Edwige Roux-Morizot, a annoncé que « les éléments de l’enquête nous font dire qu’il est extrêmement vraisemblable que cette jeune femme est morte », écartant la thèse du suicide ou de la disparition volontaire de l’étudiante pleine de vie et proche de sa famille. Décrite par ses camarades d’université comme une jeune femme « très gentille » et « toujours souriante », elle s’était installée à Besançon à la fin du mois d’août pour étudier le français.
Le soir de sa disparition, elle était partie dîner à Ornans, à 20 kilomètres de Besançon, avec un Chilien qui serait son ex-petit ami ; ils sont ensuite revenus à la résidence de la jeune femme vers minuit. Sur les images de vidéosurveillance du bâtiment, on aperçoit la jeune femme entrer en compagnie d’un homme qui serait son ex-petit ami. Lui seul est vu en train de ressortir. Le mystère demeure sur ce qui est advenu du corps.
(…) Lire la suite de l’article de Diane Berger sur LeFigaro.fr du 04/01/2017.