(…) Cette mesure, dont on ignore encore le détail, intervient alors que l’opinion nationale est toujours sous le choc de l’affaire Nihal Si Mohand, petite fille de quatre ans, retrouvée morte plusieurs jours après avoir disparu dans la région kabyle. Et dans un contexte d’inquiétude des Algériens angoissés des dangers qui guettent leurs enfants après les nombreux cas d’enfants enlevés, violentés et/ou tués, médiatisés ces dix dernières années. Drames qui ont frappé de nombreuses familles, dans plusieurs wilayas du pays, sans que les services de sécurité ne soient capables d’y faire face.
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Sources : Impact24 et liberte-algerie.com du 24/08/2016.