Malgré les demandes insistantes de la mère de Mathis et des membres de sa famille, il n’a fourni durant son procès aucune indication précise sur le sort de l’enfant, répétant ne pas avoir tué son fils et l’avoir confié à des tiers à l’étranger. » (…)
Une affirmation qui peine à convaincre. Car voici ce qu’il écrivait à propos de son fils en 2010 : « C’est l’enfant de la haine. Il y a des gènes de sa mère en lui. Je ne peux pas faire de miracles. Si ça tourne mal, je ne m’en sens pas responsable. J’ai fait le deuil ». Des propos lus à l’audience par Louis Balling, avocat de la dernière compagne de l’accusé qui l’a quitté en août 2011 et que M. Jouanneau a menacé de mort deux mois plus tard.
(…) Lire l’article intégral sur AFP du 16/12/2016 et FranceTVinfo.fr.