Le texte transfère du juge à l’officier d’état civil les changements de prénoms et revoit à minima les conditions exigées. Au risque d’engorger les mairies…
Par ailleurs, il facilite le changement d’identité sexuelle sur les papiers d’identité : il n’est désormais plus nécessaire de passer par la stérilisation ou l’opération lourde. Ce qui pourrait mener à des situations ubuesques, où une femme, devenue homme pour l’administration, pourrait néanmoins accoucher …
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Source : Paule Gonzales & Agnès Leclair pour Le Figaro.fr du 28/10/2016.