« Ernest chéri, (…), mon amour aimé, viens me secourir! », écrivait Antoinette en 1922. Sur le chantier du grand hôtel Wilson Plaza, à Nice, des ouvriers ont découvert, cachée dans une boîte à biscuit métallique rouillée, elle-même camouflée dans un faux-plafond, une lettre d’amour vieille de 90 ans rédigée par une mystérieuse Toinette à son Ernest. (…)
Qui se cachent derrière ces prénoms ? S’agit-il d’une liaison cachée ? La direction du Wilson Plaza va demander à La Poste de retrouver le nom de ceux qui pouvaient habiter dans ses appartements de fonction installés jadis à l’adresse du Wilson Plaza (anciennement l’Hôtel de la Poste justement). (…)
(…) Lire l’article intégral sur LeFigaro.fr.
Source : Thomas Romanacce pour Le Figaro.fr du 09/09/2016.