Ce dimanche à 16h, un nouveau-né a été découvert par des passants dans une poubelle de la commune de Bignac, au lieu-dit Les Godinauds. En état d’hypothermie sévère, il a été transporté en urgence à l’hôpital de Girac, mais n’a pas survécu malgré l’intervention des secours.
Sous la plume de ce duo mère-fille, nous revivons le parcours intérieur accompli, mais aussi les multiples péripéties de ce qu’est l’adoption. Un récit aux descriptions colorées, brutales et sensibles, des témoignages dramatiques, drôles, émouvants et tendres.
A Paris ou à Lyon, certaines œuvres d’adoption privées auraient profité, de 1940 jusqu’aux années soixante-dix, de la faiblesse de jeunes mères pour leur enlever leurs enfants et les placer dans des familles de la haute société, souvent contre de l’argent. Après les récentes affaires d’adoptions forcées en Irlande, en Belgique ou en Australie, la France est-elle sur le point de découvrir ses propres errements ?
« Juste un petit mot pour vous dire que mon père biologique a finalement accepté de nouer le contact. Il lui a fallu un peu de temps mais voilà, c’est chose faite !
Merci. » (Nathalie, Nouvelle-Calédonie)
Marie-Laure Picat s’était battue pour que ses enfants restent ensemble et dans la même ville après sa mort. Elle est morte dimanche après-midi d’un cancer généralisé à l’âge de 37 ans.
Chaque année, ils sont des milliers à sortir faire une course et à ne jamais revenir. Une journaliste télé, Patricia Fagué, consacre sa vie à chercher ces disparus volontaires.
Nathalie Barré publie « Il a pris mon fils », livre dans lequel elle revient sur l’enlèvement de son fils Mathis par le père de ce dernier, Sylvain Jouanneau.
A partir d’une trame classique de roman noir, Joyce Carol Oates réussit avec « Carthage » une magistrale tragédie américaine.
Quand Agatha Namusisi, 64 ans, a laissé son petit-fils de 7 ans quitter l’Ouganda pour les Etats-Unis en vue d’un traitement médical, elle ne pensait pas que plus d’un an après, il ne serait toujours pas rentré, porté disparu.
Dans les années 1980, plus de 200 enfants d’Hato Mayor, en République dominicaine, ont été séparés de leurs familles pour être confiés à des couples du Québec.