La vie à Mazara n’est pas un long fleuve tranquille
Deux petites filles de trois ans, échangées à la naissance à la suite d’une confusion à la maternité sicilienne de Mazara del Vallo, ont été restituées à leurs familles biologiques le 1er janvier 2001, en attendant l’issue légale de l’affaire. Les deux couples, dont l’un a déjà deux enfants, sont issus du même milieu social et vivent dans le même quartier. Ils se fréquentent désormais le plus possible afin d’éviter une rupture trop brutale aux fillettes.