« J’ai donné mes ovocytes comme je donne mon sang. Ce ne sont que des cellules, pas des enfants ! » Pour Emeline, le choix semble avoir finalement été assez simple : déjà maman de deux enfants de 4 et 1 ans, elle faisait une pause professionnelle et disposait d’un peu de temps. « J’avais vu des prospectus chez mon médecin généraliste, et j’en ai discuté avec mon compagnon qui m’a dit “ Ce sont tes ovocytes, tu en fais ce que tu veux ”. » Des enfants, elle ignore si elle a permis d’en faire naître. « Et ce n’est pas très important de le savoir. Si un jour quelqu’un issu de mon don voulait me rencontrer, j’accepterais pour qu’il puisse mettre un visage sur son patrimoine génétique. Mais cela n’irait pas plus loin. » (…)
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Source : figaro iconSoline Roy du 24/05/2016.